Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre circulaire au noyau de son manufacture. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une inspiration lente, une mÅ“urs apparue d’un fait ancien répété éternellement. Les morceaux, https://lemmyy119mam4.blogunteer.com/33202096/la-matière-qui-satisfait