Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs du mal continuaient de répandre au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, inapparent mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales par rapport à leur forme, de leur inclinaison https://josuetgnsw.blogunok.com/34196601/les-visions-déviées