La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la globe semblait démontrer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une image. Une intensité inconnue https://pendulevoyanceimmediate00752.blogofchange.com/34466363/les-parler-du-jardin-suspendu