Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie abandonnée, uniquement géné par le tic-tac âpre des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait délicatement entre les étagères recouvertes de poussière, optant pour tout cadran, tout engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus une seule direction. Il se fragmentait, s’étirait, https://yasserd701aws8.glifeblog.com/profile