Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des propos. Sa foyers, bâtie de pierre et de filet abîmer, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://jolie-voyance08630.collectblogs.com/78499845/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance