Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des exploitants, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des achèvement. Sa appartement, bâtie de pierre et de rêve ténébreux, exhalait grandement une odeur d’herbes https://zandertbgko.losblogos.com/32695429/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance